Comment les boissons zéro sucre vous font grossir

coca zero fait grossir

Le Coca-Cola zéro est-il une boisson miracle, un substitut parfait au « mauvais » Coca classique ? Lancé il y a dix ans, le zéro est une grande réussite marketing. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : avec plus de 8 millions de foyers acheteurs, le petit frère du Coca light, le « zéro » est  devenu n°2 des soft-drinks. En France, la firme voit ses ventes augmenter de 11% chaque année.

La publicité dit vrai

Le Coca-Cola zéro s’est imposé auprès de nombreuses consommatrices (la boisson est d’abord féminine) comme un substitut parfait : le goût du Coca, sans les « maudits sucres » qui favorisent la prise de poids, et divers autres problèmes de santé (diabète…) !

Or, la publicité dit vrai pour une fois : le Coca-Cola zéro sucres ne contient aucun glucide. La composition exacte du Coca-Cola zéro est la suivante : de l’eau gazéifiée et aromatisée, et cinq additifs:

  • E150d (Caramel au sulfite d’ammonium),
  • E338 (Acide phosphorique),
  • E331 (Citrates de sodium),
  • E951 (Aspartame),
  • E950 (Acésulfame potassium).

La question est de savoir si on peut consommer de façon régulière une boisson riche en édulcorants sans dommages et sans risques ? Et la réponse n’est pas si simple que cela.

De nombreuses suspicions au sujet des édulcorants 

L’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSSA) estime qu’à doses normales, l’aspartame est inoffensif. Mais la communauté scientifique est moins sereine. Les métabolites (produits de dégradation) de l’édulcorant (en particulier le phénylalanine, le méthanol et son dérivé le formaldéhyde) sont dangereux, avec des incidences possibles sur le développement de l’embryon (retard de développement intra-utérin, malformations cardiaques et viscérales, effets neurologiques…). D’autres suspicions sont parfois mentionnées : effets carcinogènes (cancer du foie et du poumon), sclérose en plaques…

Les dangers de l’aspartame: pourquoi l’aspartame est dangereux?

L’aspartame est l’édulcorant le plus largement utilisé en France.

Utilisé dans plus de 5000 produits, le paradoxe de l’aspartame est qu’il est consommé principalement par des personnes soucieuses de leur santé. Or, nous allons le voir dans cet article, plusieurs raisons montrent qu’il aurait des effets loin d’être bénéfiques pour notre organisme… DocteurBonneBouffe vous dévoile tout sur ce substitut du sucre aux conséquences sous-estimées.

Qu’est-ce que l’aspartame?

L’aspartame, également connu sous le code E951, est un substitut du sucre qui a les avantages d’être 180 fois plus sucré que le sucre naturel et de ne contenir aucune calorie. C’est pour ces raisons qu’il est ajouté par les industriels alimentaires dans les produits « sans sucre » ou « allégés en sucre » que nous achetons.

Mais de quoi est-il composé? Et bien, l’aspartame est une combinaison de trois produits chimiques: l’acide aspartique (40%), la phénylalanine (40%) et le méthanol (10%):


– L’acide aspartique est un acide aminé qui détruit les cellules neurologiques de notre cerveau et provoque des pertes de mémoires et des maladies neurologiques (sclérose en plaques, maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson, etc).


– La phénylalanine, elle, est un acide aminé naturellement présent dans notre cerveau. En petites quantités cet acide aminé n’est pas dangereux, mais à plus forte dose, il va causer la chute du taux de sérotonine dans le cerveau (la sérotonine est l’hormone cérébrale de la bonne humeur, elle permet de maintenir la stabilité de notre humeur). Or, lorsque le taux de sérotonine est perturbé, cela provoque des troubles émotionnels tels que : dépression, schizophrénie ou encore attaques épileptiques – ce qui expliquerait pourquoi la consommation d’aspartame entraînerait des pertes de mémoire, voire même une destruction des neurones comme on l’observe dans la maladie d’Alzheimer.


– Enfin, le méthanol, aussi appelé “alcool de bois”, est connu pour être… un poison mortel! En effet, déclaré toxique par les autorités sanitaires, il peut provoquer la mort même par inhalation en raison de ses propriétés qui ont tendance à ralentir le fonctionnement du système nerveux central (de la même façon que l’éthanol). Il peut provoquer des problèmes de vue ou encore d’autres symptômes, tels que des maux de têtes, des trous de mémoire, des engourdissements, problèmes gastro-intestinaux, vertiges, etc.

L’histoire de l’aspartame

L’aspartame a été découvert par tout hasard, en 1965, par James Schaltter un chimiste de la société pharmaceutique Searle qui réalisait des recherches sur les remèdes anti-ulcère.

Autorisé en tant qu’additif alimentaire en 1974 par la Food and Drug Administration (FDA), l’aspartame sera ensuite produit par l’entreprise Searle sous le nom de Nutrasweet. Mais des doutes sont vite émis sur l’objectivité des études réalisées par Searle, incitant la FDA à mener une enquête qui conclura à une manipulation des résultats de l’étude. En effet, les animaux sur lesquels la première étude a été réalisée ont été autopsiés 1 an après la fin des tests, révélant des tumeurs malignes qui n’avaient pas été mentionnées dans les résultats de l’étude (ou mentionnées comme bénines).

D’autres controverses émanent ensuite, laissant croire que le dossier est loin d’être neutre (publications scientifiques contradictoires, anciens membres du comité chargés d’évaluer la nocivité de l’aspartame embauchés chez Searle, campagnes de politiciens financés par la famille Searle, etc). Tout laisse à penser que la légalisation de l’aspartame est basée sur des conflits d’intérêts.

L’aspartame est malgré tout ensuite autorisé en Angleterre puis dans le reste du monde y compris en France où les autorités sanitaires s’appuient des études de Searle…

Depuis sa commercialisation, de nombreuses études ont été réalisés sur l’aspartame. Parmi les 174 études réalisées, 74 étaient financées par l’industrie de l’aspartame et 100 % d’entre elles assuraient la sécurité de cet édulcorant… A l’inverse, sur les 91 études indépendantes, 92 % ont relevé un ou plusieurs problèmes liés à l’usage de l’aspartame.

Les dangers de l’aspartame

Effets secondaires de l’aspartame

Selon les études réalisées jusqu’à présent, la consommation d’aspartame provoque à long terme les effets suivants (attention la liste est longue !) : maux de tête, migraines, étourdissements, crises d’apoplexie, nausées, engourdissements, spasmes musculaires, gains de poids, irritations cutanées, dépression, fatigue, irritabilité, tachycardie, insomnies, problèmes visuels, perte d’ouïe, palpitations cardiaques, difficultés respiratoires, crises d’anxiété, difficultés d’élocution, perte du goût, goût de fer, vertige, perte de mémoire et douleurs articulaires.

Selon la FDA, plus de 75% des signalements effectués par des consommateurs ayant été victimes de réactions indésirables liés à des additifs alimentaires ont été provoquées par de l’aspartame. Selon ces rapports, l’aspartame causerait des réactions très graves, notamment crises d’épilepsie voir décès…

Aspartame et développement de tumeurs

Selon les recherches menées sur le sujet, l’aspartame attaquerait notre système nerveux et favoriserait le développement de cellules cancérigènes.  Il crée également des conditions favorables pour le développement de maladies telles que la sclérose en plaques, la dépression, le diabète, l’arthrite, l’épilepsie, la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson ou encore la thyroïde…

Alors que la plupart des produits nocifs ont des effets immédiats, l’aspartame lui s’accumule lentement dans le corps pour ensuite perturber le cerveau et le système hormonal…

L’aspartame fait… grossir!

Enfin, autre élément sur lequel on vous a menti: l’aspartame ne ferait pas maigrir, mais… carrément grossir! Paradoxal pour un produit qui, à la base, est destiné à des personnes faisait attention à leur poids ! En effet, car l’aspartame (et les autres édulcorants artificiels d’ailleurs), avec leur faible teneur calorique, augmenterait l’appétit – nous poussant à manger plus.

Le chercheur Richard Wurtman a trouvé que la consommation de doses élevées provoquerait effectivement des « crises » de sucre et donc favoriserait la prise de poids. L’American Cancer Society a confirmé cette déclaration en menant une étude sur 80 000 femmes durant six ans. Les femmes qui ont pris le plus de poids pendant cette période furent celles qui consommaient le plus d’édulcorants!

Conclusion

Donc oui, l’aspartame a peut-être l’avantage de ne pas contenir de calories, ce qui représenterait un espoir pour les diabétiques et les personnes souhaitant perdre du poids, mais les effets négatifs de l’aspartame sont incontestables: ils font de l’aspartame (aussi connu sous la référence E 951) la substance la plus dangereuse utilisée dans le commerce !

Sommes-nous donc si fous pour mener la guerre aux calories et kilos « en trop » au détriment de notre santé ? Alors que le nombre de produits contenant de l’aspartame augmente à une vitesse foudroyante, DocteurBonneBouffe pense qu’il serait peut être temps de se remettre en question… Qu’en pensez-vous les foodingues?ATTENTION : L’aspartame est également utilisé sous d’autres noms : AminoSweet, NutraSweet, Equal, Spoonful ou encore Equal-Measure.


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